Actuellement, sept syndicats sont dits « représentatifs ».
Cela veut dire que le SNALC siège au Comité social d’administration ministériel (CSAM). Il est donc consulté régulièrement par le Ministère sur les questions et projets de texte relatifs à l’organisation et au fonctionnement des établissements, sur la gestion prévisionnelle des effectifs et de nombreux autres sujets relatifs à l’Education nationale. Il est donc au cœur des négociations et peut faire valoir son opinion, celle de ses adhérents et obtenir des avancées pour les personnels, contractuels ou titulaires (primes, revalorisations etc).
Etre un syndicat représentatif impose donc des devoirs.
En premier lieu, l’honnêteté, valeur essentielle pour le SNALC.
Il y aussi celui de discuter avec l’administration, pour infléchir le sens des textes.
Il nécessite aussi d’être force de proposition : notre site en est la preuve.
Il impose surtout de travailler, pas de faire semblant, pas de faire de faux procès, pas de tomber dans la manipulation et le populisme professoral.
Le SNALC s’est ajouté le devoir de liberté : il est aujourd’hui le seul syndicat représentatif à ne percevoir aucune subvention d’Etat. Par conséquent, il ne vit que grâce aux cotisations de ses adhérents, garanties de son indépendance et de sa liberté de pensée et d’actions, très précieuses en ces temps de langues de bois.
Enfin, vient le sens de l’économie : depuis de 13 ans, le SNALC n’a pas augmenté ses tarifs. Mieux, il les a baissés puisque nos salaires, eux, stagnent.
Ce sont donc ces valeurs que le SNALC de Champagne-Ardenne vous propose de partager, autour d’une équipe dynamique et honnête.
Vous pouvez les retrouver en lisant régulièrement notre journal académique et notre revue nationale.